Moi, Stéphanie (aka Elaura),
administratrice du blog Bit-lit.com,
rédactrice,
maman, sorcière, metalhead, Janeite, chieuse à plein-temps. Aime le thé et les kilts.
Ma vie, mon œuvre, mes bafouilles.






vendredi 25 juillet 2014

Vacances j'oublie tout...



Eh voui, le blog sera en pause pendant quelques temps, je pars en vacances me ressourcer et profiter de ma famille et du soleil !

J'espère aussi profiter de quelques visions intéressantes... 

Mon sac de livres est prêt, j'ai bien sur choisi la moitié de ma bibliothèque alors que je risque de ne lire que 3 ou 4 bouquins, mais qu'importe, au moins j'ai du choix !






Bien sûr, tu vas beaucoup me manquer, tu sais que je t'aime très fort et à jamais...



Mais comme tous les super-héros qui sont dans mon cœur, j'ai aussi besoin de cette chose qui mouille et qui fait des vagues...


Les vacances, c'est aussi le bon moment pour s'éloigner du net, faire un break et éteindre la télévision avant d'avoir quelques envies de meurtres...



Et de faire la fête avec les copains !



Mais ne t'inquiètes pas, je serais vite de retour !



Et n'oublie pas...




mardi 22 juillet 2014

L'ange de minuit

Stokehurst
Tome 1 : L'Ange de minuit
Lisa Kleypas

Editions J'ai Lu
Collection Aventures et Passions
Réédition le 8 janvier 2014




Présentation de l'éditeur :

Saint-Pétersbourg, 1870. Toute la ville réclame sa mort. Elle sera exécutée demain à l'aube. Coupable de meurtre. Les preuves sont accablantes : on a retrouvé Tasia couverte, de sang à côté du cadavre de son mari, le prince Mikhail. Mais Tasia ne se souvient de rien. Grâce à l'aide d'une servante dévouée, Tasia parvient à s'enfuir. Elle gagne l'Angleterre et réussit à obtenir une place de gouvernante chez lord Stokehurst. 
D'un coup, sa vie bascule : adieu la riche héritière destinée à épouser un prince de son rang et à veiller sur des armées de domestiques ! C'est aujourd'hui elle la servante. Face à un homme habitué à régner en maître et à obtenir tout ce qu'il veut. Y compris la ravissante Tasia... Et Tasia n'est pas indifférente au charme indéfinissable de son maître. Pourra-t-elle éternellement fuir son passé et les élans de son cœur ?

Mon avis :

Un roman écrit il y a presque 20 ans et qui souffre un peu du poids des années, mais il reste tout de même agréable à lire et l'auteur avait déjà à l'époque la touche particulière qu'on lui connaît.
Certes, nous sommes loin de ses sagas phares telles que La Ronde des saisons ou Les Hathaway, mais notons tout de même que les mâles alphas à la mine renfrognée si chers à l'auteur sont présents, et c'est ce qui sauve un peu ce premier opus.
L'action se situe tout d'abord en Russie où nous faisons la connaissance de Tasia, riche héritière russe qui se voit contrainte de quitter son pays pour se cacher en Angleterre, accusée d'un meurtre dont elle ne garde aucun souvenir. Placée comme gouvernante chez un lord veuf et père d'une fille de 13 ans, Tasia découvre la domesticité et tente de se faire la plus discrète possible. Mais sa culture et ses bonnes manières, ainsi que ses secrets, finissent par attiser la curiosité du maître de maison, sans parler des autorités russes qui comptent bien la retrouver.

Premièrement, je tiens à préciser que la quatrième de couverture présentée par l'éditeur contient une erreur cruciale : Tasia est bien accusée du meurtre du prince Mikhail, mais celui-ci n'est pas son mari, mais son fiancé, ce qui change pas mal de choses à l'histoire de base et surtout, sur la manière dont la relation entre nos deux héros va se construire. En effet, Tasia est une jeune femme très pieuse, issue de l'aristocratie russe et destinée à épouser un prince. De ce fait, son innocence a été préservée et l'insistance de son maître à percer ses secrets (même les plus intimes) trouvera quelques résistances. 

L'intrigue autour de nos deux héros reste intéressante, même si l’obstination de l’héroïne à ne vouloir rien dire ainsi que ses états d'âmes finissent par lasser un peu le lecteur. Cependant, l'entrée en scène du frère du prince assassiné, le ténébreux Nicolas, qui ne cesse de réclamer vengeance, est plus que palpitante (quand on parle du mâle alpha, il montre le bout de sa queue) et promet un second tome bien plus croustillant.

Au final, un premier opus qui se laisse lire, même si ce n'est pas le meilleur de l'auteur, mais ne boudons pas notre plaisir, cela reste un Kleypas !


lundi 7 juillet 2014

Lafayette time : come on bitches, let's cook today



Bonjour lecteur,

Aujourd'hui je vais te donner la recette d'un plat que j'adore : le Jambalaya !

Voui, il m'arrive parfois de me prendre pour une grande cuisinière expérimentale car, je te préviens, ma cuisine peut devenir étrange, voir martienne.
Mais qu'importe, aujourd'hui, la recette est simple à la base, je l'ai juste améliorée pour qu'elle soit appréciée par l'ensemble de ma famille, c'est-à-dire mon Poulpe (du genre pénible à table), mon Barbare (du genre à tout manger pourvu que ce soit de la nourriture) et bien sur moi (du genre à préférer le chocolat devant tout autre plat à base d'aliments qui se mangent).

Alors ouvre bien tes yeux, mets ton foulard sur la tête, sort la musique cajun et tortille ton popotin, c'est parti...

Je me suis principalement inspirée d'une recette trouvée sur Marmiton.org, la voici :

Ingrédients (pour 6 personnes) :
- 3 saucisses fumées
- 200 g de blancs de poulet ou de dinde
- bouillon de poule
- riz
- paprika, piment
- poivron rouge, vert
- céleri
- éventuellement tomates
- crevettes crues

Faire rissoler les saucisses fumées tranchées dans de l'huile avec beaucoup de paprika dans une sauteuse.
Mettre les légumes émincés.
Puis les blanc en lamelles.
Mettre le riz et le laisser dorer.
Ajouter le bouillon de poule (1 l pour 500 g de riz).
Laisser mijoter 10 mn.
Ajouter les crevettes et un peu de piment.
C'est prêt.


Franchement, il n'y a pas plus simple et c'est déjà très bon comme ça, pour l'avoir tester une première fois, sans changements.

À toi de voir ce que tu aimes, mais moi, je me suis prise pour Lafayette et j'ai fait ma bitch car je n'étais pas totalement satisfaite :


Premièrement, si tu n'aimes pas des masses le piment, tu peux le remplacer par du Tabasco. Soit tu le mets directement dans le plat, soit, si tu as des enfants à table, chacun le met dans son assiette. En effet, généralement les gosses ne sont pas fans de choses qui piquent (et tuer des enfants par étouffement, c'est interdit par la loi).

Tu n'aimes pas le céleri ou tes mioches le regardent d'un œil torve ? Pas de panique, tu le remplaces par un oignon, c'est tout aussi bon. De même, si tu souhaites un brin adoucir l'ensemble, tu peux rajouter une petite boîte de tomates concassées, c'est plutôt agréable en bouche.

Une autre version testée et approuvée par votre Bitch, c'est celle proposée par Charlaine Harris dans Mariage Mortelle, recueil de nouvelles dans le cadre de sa série La communauté du sud. Tu peux rajouter un peu de haricots rouges ou noirs, de l'ail, du poivre de Cayenne, du poivre noir et de la sauce Salsa épicée. C'est très bon mais beaucoup plus fort comme tu peux t'en douter.

Au final, le Jambalaya est un plat que l'on peut agrémenter un peu comme on le souhaite, à partir du moment où les ingrédients de base sont là, soit : le riz, le paprika, la saucisse fumée et le poulet.

ça c'est mon mien !

Et voilà, c'était la minute « Lafayette est en moi » ! Et promis, il n'y a pas de démons dans mes placards.



(mais j'attends toujours mon vampire)...

Meuh siiiiii \o/


ça c'est pour te récompenser lecteur...