Un livre culte à garder près de soi, en toutes circonstances...
84, Charing Cross Road
de Helene Hanff
Editions : Livre de Poche
Sortie en octobre 2003
Présentation de l'éditeur :
Helen Hanff vit à New York, sur la 95e rue. En 1949, à vingt-trois ans,
elle écrit aux libraires de la Marks & Co., à Londres. Cette
"lectrice/auteur de script", originale et sans le sou, trouvera son
bonheur grâce aux colis de livres introuvables à New York, que lui fait
parvenir la librairie du 84, Charing Cross Road. À tel point qu'elle
écrit, non sans émotion : "Londres est bien plus près de mon bureau que
la 17e rue." Travail, argent, lectures, colères et joies… Incroyablement
vivante et libre, sa correspondance avec Frank Doel, libraire dont la
réserve très britannique cache mal la tendresse, durera vingt ans. Le
public français a pour la première fois accès à ce trésor
d'authenticité, qui a valu à son auteur une célébrité immédiate, et
donné lieu à de nombreuses adaptations.
Mon avis :
Un petit bijou de livre, qui doit s'offrir et s'échanger en masse, tant
ses 156 pages sont pleines d'humour, de passion mais surtout d'humanité.
Il s'agit d'une correspondance, de celle qui vous prouve que même à des milliers de kilomètres, l'amour du livre peut se transmettre, s'échanger et faire vibrer (ça ne vous rappelle rien ? ).
Helen Hanff, écrivaine américaine sans fortune, recourt une première fois aux prestations de recherche de livres anciens de la librairie Marks and co, située à Londres (au 84 Charing Cross Road). S'ensuit une correspondance soutenue entre les États-Unis et l'Angleterre, entre une femme amoureuse des livres, pétillante et pleine d'esprit, et les employés d'une librairie.
Les échanges cordiaux et professionnels du début, laissent place à des lettres plus chaleureuses face à celles de l'auteure pleines d'humour et surtout, parsemées de ci, de là, de colis alimentaires pour remercier les employés de se donner tant de mal (Londres, en 1949, étant encore sous le joug du rationnement suite à la seconde guerre mondiale).
Sur près de 20 ans (1949 – 1969) les lettres traversent l'Atlantique, et le respect mutuel se mue en attachement profond, voire même en sentiment amoureux. C'est beau et très émouvant.
Truffé de références, ce petit livre est la bible des bibliophiles amateurs, mais surtout une grande leçon d'altruisme. Un véritable coup de cœur !
Il s'agit d'une correspondance, de celle qui vous prouve que même à des milliers de kilomètres, l'amour du livre peut se transmettre, s'échanger et faire vibrer (ça ne vous rappelle rien ? ).
Helen Hanff, écrivaine américaine sans fortune, recourt une première fois aux prestations de recherche de livres anciens de la librairie Marks and co, située à Londres (au 84 Charing Cross Road). S'ensuit une correspondance soutenue entre les États-Unis et l'Angleterre, entre une femme amoureuse des livres, pétillante et pleine d'esprit, et les employés d'une librairie.
Les échanges cordiaux et professionnels du début, laissent place à des lettres plus chaleureuses face à celles de l'auteure pleines d'humour et surtout, parsemées de ci, de là, de colis alimentaires pour remercier les employés de se donner tant de mal (Londres, en 1949, étant encore sous le joug du rationnement suite à la seconde guerre mondiale).
Sur près de 20 ans (1949 – 1969) les lettres traversent l'Atlantique, et le respect mutuel se mue en attachement profond, voire même en sentiment amoureux. C'est beau et très émouvant.
Truffé de références, ce petit livre est la bible des bibliophiles amateurs, mais surtout une grande leçon d'altruisme. Un véritable coup de cœur !
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