La fille du vizir
de Lynna Banning
Edition : Harlequin
Collection : Les Historiques
Sortie le 1er aout 2009
Présentation de l'éditeur :
Espagne, 1167.
De son enfance très libre passée dans un palais mauresque de Grenade, Leonor a conservé une passion pour le chant gitan et un goût immodéré de l’aventure. Aussi est-elle impatiente d’aller rendre visite à sa tante en Navarre. Mais son père, le vizir Hassam, lui impose une escorte : Reynaud, un ténébreux chevalier de l’ordre des Templiers. Leonor, qui rêve secrètement du jour où elle pourra se donner corps et âme à un homme, est immédiatement conquise. Or, lié par son voeu de chasteté et obnubilé par sa mission, Reynaud ne semble pas enclin à lui céder...
De son enfance très libre passée dans un palais mauresque de Grenade, Leonor a conservé une passion pour le chant gitan et un goût immodéré de l’aventure. Aussi est-elle impatiente d’aller rendre visite à sa tante en Navarre. Mais son père, le vizir Hassam, lui impose une escorte : Reynaud, un ténébreux chevalier de l’ordre des Templiers. Leonor, qui rêve secrètement du jour où elle pourra se donner corps et âme à un homme, est immédiatement conquise. Or, lié par son voeu de chasteté et obnubilé par sa mission, Reynaud ne semble pas enclin à lui céder...
Mon avis :
Voilà une romance qui ne manque pas de charme, mais
parlons tout d’abord de ce qui fâche ! Ne recherchez pas la rigueur
historique ici, vous ne la trouverez pas.
Lynna Banning, bien que passionnée par le Moyen Age,
joue avec les codes de l’époque pour faire de son héroïne une femme
indépendante (au 12e siècle !), de son héros un Templier froid au grand
coeur (qui pleure de joie et d’amour... ), et de son méchant un
Hospitalier (comme par hasard, les ennemis jurés des Templiers...) très
très méchant.
Ceci dit, après un début un peu lent et difficile, on se
surprend à vouloir connaître la fin. Preuve qu’au final, le style
simple de l’auteur nous porte dans cette histoire "gentillette".
En conclusion, les aventures de Leonor et Reynaud sont
jolies mais franchement pas inoubliables. A lire au coin du feu, par un
temps de pluie, à l’heure du thé, si vous n’avez rien d’autre sous la
main, bien sûr.