C'est la crise mes amis ! voici la tête de mon banquier à l'heure actuelle.
Et comme de bien entendu, mon panier Amazon est bardé de livres que je ne peux m'offrir. Certains attendent depuis des mois, patiemment, sans jamais se plaindre (quel courage !). D'autres ont rejoint le club des livres attendus depuis peu, mais tous, voui, tous ! méritent d’atterrir dans mes bibliothèques.
Aussi, et parce que ça me fait mal au cœur de les voir abandonnés, en attente d'être adoptés, j'organise un Elaurathon. Voui mes amis, il est temps que ces fabuleux ouvrages, dont le comportement fut plus qu’héroïque tant la liste "Mis de côté pour un futur achat" est plus qu'inconfortable, viennent enfin voir maman.
J'accepte les cadeaux, les livres d'occasion, les chèques et les espèces. Je suis persuadée que vous avez bon cœur et qu'en ce jour un peu funeste, vous saurez rendre heureuse une de vos amie ! Merci \o/
Voici la liste des courageux candidats !
Bien sûr, comme Blogger a décidé de me contrarier ce matin, le résumé de ce fabuleux roman de Brasey sera placé au-dessus, même si ça fait trop moche -_-
Je disais donc, fortement conseillé par dame Biscotte, il faut absolument que je lise cette trilogie.
"Odin le dieu suprême, a engendré sur terre la puissante lignée des fin
rois du Frankenland, les seuls à pouvoir perpétuer l'étincelle divine
qui sommeille au coeur des hommes. Mais Frigg, l'épouse d'Odin, frappe
la reine du Frankenland de stérilité. Odin fait alors appel à
Brunehilde, la Walkyrie chargée de recueillir le dernier souffle des
guerriers valeureux pour les conduire au paradis du Walhalla, afin
qu'elle apporte à la reine l'une des pommes d'éternelle jeunesse qui
poussent dans le verger de Freya. Pour accomplir sa mission, Brunehilde
doit abandonner son statut de déesse et de vierge guerrière. Devenue
simple mortelle, elle chante les anciennes sagas mettant en scène les
dieux et les héros, avant d'être, par amour, reine, épouse et mère. Mais
la malédiction de l'anneau du Nibelung va bientôt entraîner le
crépuscule des dieux...
Anneaux magiques et épées invincibles,
Walkyries et dragons, géants et nains, dieux et héros animés de passions
ardentes... Dans la lignée de L'Anneau du Nibelung, de Richard Wagner,
et du Seigneur des anneaux, de J.R.R. Tolkien, Les Chants de la Walkyrie
sont le premier volume de La Malédiction de l'anneau, une saga
foisonnante au souffle épique et héroïque, inspirée des anciennes
mythologies et légendes nordiques."
Parce que j'aime les romans historiques et cette auteure en particulier, grande amoureuse de l'Ecosse !
"1260. Will Campbell n'a pas douze ans quand il quitte son Écosse natale
pour rejoindre un ordre du Temple puissant mais cerné d'ennemis.
Volontaire et loyal, il espère se montrer un jour digne de son père en
défendant comme lui cette Terre sainte appartenant aux Chrétiens. Will
n'imaginait pas être si vite confronté au danger et au mystère en se
retrouvant au coeur de la tourmente^ causée par la perte d'un manuscrit
secret, l'Âme du Temple. Convoité de toutes parts, ce document
compromettant pourrait faire vaciller la puissance des Templiers. Entre
le bruissement des intrigues et le fracas des armes, Will va alors
découvrir la face cachée de l'Ordre..."
Parce que je ne l'ai pas encore et que c'est absolument inadmissible !
"Les vengeurs, les héros les plus puissants de la Terre, sont confrontés à des menaces qu'eux seuls sont capables de repousser. Hulk, Wolverine, Spiderman, Captain America, Iron Man, Tornade et Giant-Girl ne seront pas de trop pour contenir la révolte d'une prison de haute sécurité, arrêter quatre astronautes transformés en super-criminels ou encore affronter Loki, le diabolique frère de Thor !"
Parce que TS Eliot, et que je n'ai pas de version bilingue !
"Ce volume, présenté dans une traduction de Pierre Leyris qui fait
référence, se compose de plusieurs groupes de poèmes suivis de notes
(certaines établies par T. S. Eliot lui-même). Premiers poèmes, Mercredi
creux, Mercredi des cendres, Poèmes d'Ariel, Quatre quatuors, éclairent
une œuvre poétique qui a dominé la première moitié du siècle. La Terre
vaine, le chef-d'œuvre de T. S. Eliot, désormais considéré comme un
classique de la poésie anglo-saxonne du XXe siècle, complète ce recueil."
Parce que Ken Follett à l'époque victorienne ça doit envoyer du bois !!!
"L'auteur du Code Rebecca et de l'inoubliable fresque des Piliers de la
Terre nous emmène ici, avec sa prodigieuse science de l'intrigue, au
coeur de l'Angleterre victorienne.En 1866, plusieurs élèves du collège
de Windfield sont les témoins d'un accident au cours duquel un des leurs
trouve la mort. Mais cette noyade est-elle vraiment un accident ? Les
secrets qui entourent cet épisode vont marquer à jamais les destins
d'Edward, riche héritier d'une grande banque, de Hugh, son cousin pauvre
et réprouvé, de Micky Miranda, fils d'un richissime Sud-Américain.
Autour d'eux, des dizaines d'autres figures s'agitent, dans cette
société où les affaires de pouvoir et d'argent, de débauche et de
famille, se mêlent inextricablement derrière une façade de
respectabilité."
Parce qu'un bon thriller sur fond de légendes vikings ça ne se loupe pas !
"En venant s'installer sur cette île sauvage et majestueuse des Shetland,
Tora savait d'avance qu'elle serait confrontée à un climat rigoureux, à
une intégration difficile, et surtout à l'isolement. Mais elle était
bien loin d'imaginer que, par un après-midi pluvieux, elle découvrirait
sur ses terres le corps d'une jeune femme parfaitement conservé, un trou
béant à la place du coeur. Un crime monstrueux que, curieusement, les
insulaires s'empressent de classer. Quelque chose pourtant pousse Tora à
essayer de comprendre. Pourquoi le meurtrier a-t-il pris le temps de
graver des runes sur le corps de sa victime ? Et que se passe-t-il sur
cette île où d'autres femmes ont disparu et où des pics de mortalité
inexpliqués surviennent à intervalles réguliers ?
Quand, au-delà du
factuel et du scientifique, une vieille légende locale ressurgit, Tora
commence à douter qu'elle arrivera un jour à quitter cette île aux
disparues..."
Parce que je ne connais pas encore, même si là, ce n'est pas du Marvel. Et si vous n'avez pas encore compris que dans tout le panthéon nordique, Loki est mon dieu préféré, je ne peux plus rien faire pour vous !
"Un moinillon habile et perspicace, un vieux poète facétieux et un
guerrier sans passé. Trois prisonniers d’une société de femmes
conquérantes, promis à l’esclavagisme sexuel ou au sacrifice…
Trois
rescapés, opposés dans leurs convictions, bien décidés à survivre dans
ces terres hostiles et primitives. Trois compagnons malgré eux, réunis
par le destin pour s’approprier une ancienne relique tombée du ciel dans
un déluge de feu… Alors que les dieux s’égarent en quêtes futiles et
que leurs guerres intestines s’enlisent, celles que l’on nomme les
Nornes, les Soeurs du Destin, décident de prendre en main le futur de
tous. Dieux, géants, monstres et mortels entreront dans l’ère de l’Épée
et de la Hache lorsque Loki, le dieu malin, s’éveillera. Tous
s’avanceront alors sur la voie du Ragnarok, le commencement de la fin."
Byron, Shelley, du romantisme et un très joli visuel de couverture, ça suffit à mon bonheur.
"Lord Byron et Percy B. Shelley sont les deux grands poètes anglais de la
liberté. Mystérieux, sulfureux, éblouissants de lumière et de beauté,
ils incarnent les aspirations d'une jeunesse éternelle, romantique et
rebelle. Présentés ici côte à côte, les poèmes et les discours
politiques de Byron ainsi que les pamphlets et les odes de Shelley
éclairent le sens profond de l'engagement artistique et poétique de leur
vie. Car les deux hommes, en rupture complète avec la société de leur
temps, se pensaient investis d'une mission : celle de défendre la cause
de la liberté contre les différents visages de l'oppression. Réunis dans
la vie par une indéfectible amitié, ils l'ont été par la mort qui vint
les faucher dans la fleur de leur jeunesse, contribuant ainsi à
constituer leur légende de poètes maudits. Sont rassemblés dans cet
ouvrage les trois uniques discours de Byron à la Chambre des Lords ainsi
que la Nécessité de l'athéisme de Shelley, sa Déclaration des droits,
son Adresse au peuple à propos de la mort de la princesse Charlotte. Ils
sont accompagnés de l'Ode à Venise, de Prométhée, du Sonnet sur
Chillon, de l'Ode à la liberté, de la Tour de la Faim et d'autres
poèmes."
Sherlock Holmes, Bram Stoker, du timetravel, faut-il vraiment que j'aille plus loin ?
"Octobre 1900, Londres. Après avoir reçu un étrange courrier, Conan Doyle
se retrouve mêlé à la disparition de plusieurs jeunes filles dans les
bas-fonds de la ville. Sur les traces d'un tueur en série, il demande
l'assistance d'un de ses amis, l'écrivain Bram Stoker, auteur de
Dracula. Janvier 2009, New York. C'est un grand jour pour Harold White :
son article mettant en parallèle les exploits de Sherlock Holmes et la
naissance de la médecine légale lui vaut d'être intronisé dans la
prestigieuse association des "Baker Street Irregulars". C'est aussi un
grand jour pour ladite association : Alex Cale, l'un de ses membres les
plus renommés, vient de retrouver le "Saint-Graal" des fanatiques de
Conan Doyle, le fameux tome perdu du journal intime de l'écrivain,
couvrant les mois d'octobre à décembre 1900. C'est en effet à cette
époque que Conan Doyle, après avoir fait mourir Sherlock Holmes sept ans
plus tôt au grand dam de ses admirateurs, a décidé, pour une raison
demeurée inconnue, de faire revivre le célèbre détective. Mais Alex Cale
est assassiné avant d'avoir pu dévoiler le contenu du fameux journal et
Harold, inspiré par l'art de la déduction de son illustre modèle, se
lance sur la piste du meurtrier. Deux enquêtes à plus d'un siècle de
distance, de mystérieuses correspondances, un formidable coup de
théâtre. Avec ce premier roman passionnant, Graham Moore, s'inspirant de
faits réels, nous offre un voyage fascinant dans le monde des
collectionneurs et des obsessionnels de Sherlock Holmes, et met le
lecteur à l'épreuve : saura-t-il résoudre l'énigme avant le héros ?"
Parce que ça fait super longtemps que je veux lire ce roman graphique !
"Autrefois, dans l'île de Kyushu, la fille du propriétaire d'une filature
de soie aimait à se parer des plus beaux kimonos qui se puissent voir.
Son favori, orné de chats espiègles, avait été confectionné par un
tisseur qui l'aimait mais dont elle repoussa les avances. Pour se
venger, celui-ci fit s'enfuir les un des chats du kimono de la belle...
Le Chat noir, livré à lui-même, n'eut bientôt cesse que de retrouver le
kimono perdu. Une déambulation qui l'emmena jusqu'en Grande-Bretagne où
il croisa les pas du célèbre Sherlock Holmes... Comme dans les plus
beaux contes, le rêve et la réalité se rejoignent, les coïncidences se
multiplient pour offrir un récit d'une grande poésie et d'un immense
pouvoir de séduction..."
Parce qu'il est temps de lire la suite non ?
"Après avoir échappé à la mort dans les rues de Rome, Victoria Gardella,
la chasseuse de vampires, retourne à Londres. Dans la ville victorienne,
un étrange vampire fait un carnage et rien ne semble pouvoir l'arrêter,
pas même la brûlure du soleil. on seulement Victoria n'est pas assez
puissante pour arrêter la créature, mais en plus elle est soupçonnée
d'être responsable du massacre. Une situation d'autant plus délicate
qu'un peu de sang vampire coule dans ses veines depuis qu'elle a été
mordue par l'un des êtres malfaisants qu'elle traque. Cette fois,
Victoria doit lutter contre la nouvelle race vampire qui décime Londres,
mais aussi contre ses propres démons intérieurs..."
Faut-il vraiment que je développe ?
"Rien ne semble devoir troubler l’existence ordonnée et protégée de
Pemberley, le domaine ancestral de la famille Darcy, dans le Derbyshire,
ni perturber le bonheur conjugal de la maîtresse des lieux, Elizabeth
Darcy. Elle est la mère de deux charmants bambins ; sa sœur préférée,
Jane, et son mari, Bingley, habitent à moins de trente kilomètres de là ;
et son père adulé, Mr Bennet, vient régulièrement en visite, attiré par
l’imposante bibliothèque du château. Mais cette félicité se trouve
soudain menacée lorsque, à la veille du bal d’automne, un drame
contraint les Darcy à recevoir sous leur toit la jeune sœur d’Elizabeth
et son mari, que leurs frasques passées ont rendu indésirables à
Pemberley. Avec eux s’invitent la mort, la suspicion et la résurgence de
rancunes anciennes.
Dans La mort s’invite à Pemberley, P.D.
James associe sa longue passion pour l’œuvre de Jane Austen à son talent
d’auteur de romans policiers pour imaginer une suite à Orgueil et
Préjugés et camper avec brio une intrigue à suspense. Elle allie une
grande fidélité aux personnages d’Austen au plus pur style de ses romans
policiers, ne manquant pas, selon son habitude, d’aborder les problèmes
de société – ici, ceux de l’Angleterre du début du XIXe siècle."
Un grand mélange de comics, d'uchronie de steampunk et d'urban fantasy, pourquoi s'en priver ?
" États-Unis, début des années 1930. Les dirigeables sillonnent le ciel,
Berlin est peuplée de zombies et la magie, apparue depuis près d'un
siècle, a changé la donne. Le grand public hésite entre admiration et
haine des actifs, ces gens qui se téléportent, lisent dans les esprits,
modifient la gravité, contrôlent les animaux, guérissent par imposition
des mains...
Deux organisations de magiques se livrent une guerre
souterraine acharnée : l'Imperium et son maître le président, qui
tiennent le Japon, et le Grimnoir, société secrète de résistants aux
intentions louables mais aux méthodes discutables.
Jake Sullivan,
lui, vétéran de la Grande Guerre au passé de truand, ne doit la liberté
qu'à son serment de mettre ses pouvoirs au service du FBI chaque fois qu
une enquête implique des actifs; criminels. Il sera bientôt confronté
aux véritables enjeux géopolitiques d un monde au bord de l'enfer et de
la destruction ; il lui faudra choisir son camp.
Magie brute,
dans un style très visuel et percutant, mêle gangsters, superhéros
désinvoltes et désabusés, jolies filles teigneuses, bagarres épiques et
armes à feu à tous les étages. Roman de fantasy urbaine à la croisée du
polar, du steampunk et de l uchronie, ce premier livre des Chroniques du
Grimnoir louche aussi sur le double héritage des comics et des pulps
américains."
Super-héros Marvel en zombies, je pense que vous avez compris.
"Un effroyable virus est tombé du ciel et a transformé presque tous les
habitants de la planète en morts-vivants. II a même infecté les plus
grands super-héros Marvel, dont la seule obsession est désormais de
dévorer de la chair humaine. Mais maintenant qu'il ne reste que quelques
survivants sur Terre, comment les zombies vont-ils satisfaire leur
insatiable faim ? Ce volume contient les deux premières mini-séries
Marvel Zombies. véritables bombes lancées par Robert Kirkman et Sean
Phillips dans l'univers des comics. Retrouvez également les épisodes 21 à
23 d'Ultimate Fantastic four où les Marvel Zombies ont fait leur
première apparition sous la plume et les crayons de Mark Millar et Greg
Land. Les couvertures régulières et variant réalisées par Arthur Suydam
complètent le programme."
Fortement conseillé par beaucoup de monde, il est temps que je me penche sur la question!
"Charity est une fille. Une petite fille. Elle est comme tous les enfants
: débordante de curiosité, assoiffée de contacts humains, de paroles et
d'échanges, impatiente de créer et de participer à la vie du monde.
Mais voilà, une petite fille de la bonne société anglaise des années
1880, ça doit se taire et ne pas trop se montrer, sauf à l'église, à la
rigueur. Les adultes qui l'entourent ne font pas attention à elle, ses
petites sœurs sont mortes. Alors Charity se réfugie au troisième étage
de sa maison en compagnie de Tabitha, sa bonne. Pour ne pas devenir
folle d'ennui, ou folle tout court, elle élève des souris dans la
nursery, dresse un lapin, étudie des champignons au microscope, apprend
Shakespeare par cœur et dessine inlassablement des corbeaux par temps de
neige, avec l'espoir qu'un jour quelque chose va lui arriver..."
Même punition que pour Loki, une série que je ne connais pas !
"Odin est le seigneur d'Asgard, père du panthéon scandinave. Poète,
magicien, guerrier implacable, père aimant, amant passionné... Avant
d'être un dieu, Odin est un homme complexe et sombre, qui tenta jusqu'au
bout de déjouer l'inéluctable destinée qui menait à Ragnarök, à la fin
des temps. Ceci est l'histoire de celui que les Vikings nommaient le
Père des batailles..."
Quand on s’intéresse à l'Angleterre victorienne, il est bon de se replonger dans l'histoire de l'Empire.
"Une telle Histoire des îles Britanniques est inédite en France. Les
auteurs ont voulu montrer et expliquer la place conjointe de ces îles
dans l'histoire de l'Europe et du monde, leur singularité respective,
née principalement de I"insularité, évoquer leurs rapports, en
particulier ceux de la Grande-Bretagne et de l'Irlande transformés par
des mouvements de population et des conquêtes militaires, puis déchirés
par des confrontations et des affrontements aujourd'hui cristallisés
autour de la question d'Irlande du Nord.
Quatre parties structurent
cet ouvrage. D'abord, le temps des fondations jusqu'au début du XIe
siècle, durant lequel les îles ont successivement assimilé l'influence
des Celtes, des Romains, des Anglo-Saxons, des missionnaires chrétiens,
des Vikings. La deuxième partie traite du Moyen Age insulaire, de la
bataille de Hastings à celle de Bosworth période durant laquelle les
rois normands puis les Plantagenéts ont construit et imposé une
puissante monarchie. Sont ensuite étudiés les Temps modernes, où l'on
observe qu'en dépit des querelles religieuses et des bouleversements
dynastiques, se développe la puissance impériale de l'Angleterre. Dans
la dernière
partie, on mesure combien les îles sont devenues te
principal laboratoire (économique, social, culturel) du monde
contemporain spécialement pour l'Amérique du Nord qui finit par les
dépasser et les rejeter vers l'Europe, où, si l'Angleterre cherche
encore sa place, l'Irlande trouve enfin les moyens d'un véritable
développement."
Même chose, il est parfois bon de savoir de quoi on parle, non ?
"Cet ouvrage rassemble une centaine de documents de civilisation
britannique (témoignages, documents officiels, discours, rapports
d'enquête, extraits de presse, chansons populaires, textes
littéraires...) présentés dans leur langue d'origine et accompagnés de
commentaires en français, destinés à faire mieux connaître et comprendre
une période particulièrement prestigieuse de l'histoire de la
Grande-Bretagne : l'époque victorienne. L'expression est prise ici au
sens large et dépasse les limites strictes du règne de Victoria
(1837-1901). Mais ce règne a été si long, il a apporté une telle
grandeur au pays qu'il s'est identifié à toute une époque. Plusieurs
aspects essentiels de la civilisation victorienne sont abordés : les
progrès techniques avec l'apparition des chemins de fer, le libéralisme
et ses adversaires, les questions sociales, la conquête du suffrage
universel, la revendication ouvrière et les syndicats, l'éducation, la
religion et la science, la condition féminine, l'art ; et aux marges du
pays, l'Irlande, qui connaît alors ses années les plus tragiques, les
colonies et l'Empire, qui contribuent à la grandeur britannique... Entre
ces différents sujets apparaissent des liens, soulignés par un système
de références et de renvois, parce que les questions économiques et
sociales ne peuvent se dissocier de l'histoire des idées et de l'art et
qu'il n'y a pas de solution de continuité entre le pays et son Empire.
Période de grandeur et de crise, période de certitudes et de doutes,
période de progrès et d'adaptation, l'époque victorienne se caractérise
par sa richesse, sa complexité et ses contradictions, dont témoignent
ces documents."
Une petite révision nécessaire, pour un projet d'écriture !
"La Scandinavie païenne nous a légué nombre de mythes captivants et
parfois horrifiques, qui mettent en scène des dieux et des déesses, des
héroïnes et des héros, des monstres et des géants. Odin et Thor, Freyia
et Loki, Sigurd, Gudrun et Brynhild comptent ainsi parmi les plus
célèbres de ces figures dont les aventures ont été fixés par écrit après
que les populations nordiques se furent converties au christianisme."
Pour approfondir le sujet et éviter d'écrire des conneries, ça fait mauvais genre.
"Les poèmes mythologiques et héroïques, la version en prose de Snorri
Sturluson (le plus grand écrivain et mythographe islandais du Moyen-Age,
1178-1241) de l'Edda sont les sources littéraires de cette étude
mythologique. Chaque dieu est présenté avec ses attributs et ses
fonctions à la faveur des textes qui le concernent et des mythes qui s'y
rattachent sans faire l'impasse sur les incertitudes et les doutes de
la recherche passée et actuelle. S'étendant sur 2 500 ans et sur un
espace vivifié par les Vikings qui va du Groenland à Constantinople, du
Nord de la Suède à Gibraltar, ce corpus de croyances païennes offre
naturellement de singulières distorsions et présente cependant de
confondantes continuités thématiques. A l'aide de l'archéologie,
l'histoire, la littérature, l'onomastique et la linguistique, entre
autres sciences, cet ouvrage fait non seulement le point sur les
connaissances actuelles, mais encore bat en brèche certaines
interprétations traditionnelles qui voudraient privilégier le côté
martial alors que la civilisation où s'est développée cette mythologie a
pour trait fondamental la troisième fonction dumézilienne"