Les Highlanders
Tome 1 : La Malédiction de l'Elfe Noir
de Karen Marie Moning
Éditions J'ai Lu
Collection Crépuscule
Sortie le 2 novembre 2011
Format poche / Prix 7,40 €
Tome 1 : La Malédiction de l'Elfe Noir
de Karen Marie Moning
Éditions J'ai Lu
Collection Crépuscule
Sortie le 2 novembre 2011
Format poche / Prix 7,40 €
Présentation de l'éditeur :
Après la conclusion du Pacte, le peuple des faës s’est réfugié sur la
mythique île de Morar, au large des côtes d’Écosse. A la cour de Faërie,
la reine Aoibheal, fâchée contre son époux, s’extasie avec malice sur
le charme d’un mortel du nom de Hawk, qui a le don de séduire toutes les
femmes. Aucune ne lui résiste, affirme-t-elle. pas même elle. Ivre de
jalousie, le roi Finnbheara convoque son bouffon, Adam Black et lui
ordonne de trouver une femme d’une beauté parfaite, mais indépendante,
qui refusera de se laisser séduire par Hawk. Et c’est ainsi qu’Adrienne
de Simone est précipitée du XXème siècle en 1513...
Mon avis :
Après plusieurs années d’attente, les éditions J’ai Lu éditent enfin le
début de la fameuse série des McKeltar, plus largement renommée « Les
Highlanders ».
Premier titre de la série mais également premier livre de l’auteur, et l’on sent déjà une certaine maîtrise et un goût prononcé pour l'Écosse médiévale et ses furieux guerriers. Ce n’est pas pour nous déplaire, bien au contraire, puisque Karen Marie Moning est surtout connue et reconnue pour son goût immodéré pour les beaux mâles alpha qui feraient fondre un troupeau de nonnes (il fait chaud d’un coup …).
Mais revenons à nos moutons (ou plutôt à nos guerriers), ce premier opus pose donc les bases d’un univers bien particulier où les légendes Celtes sont à l’honneur. Nous sentons tout l’amour de l’auteur pour ce pays si particulier peuplé d’étranges créatures aussi belles que féroces et qui rajoute une touche de merveilleux bienvenue. Comme beaucoup le savent déjà, ce monde fantastique servira également de background à la série urban fantasy Fever, dont nous attendons fébrilement le dernier tome.
Si ce premier livre reste quand même une lecture agréable, il comporte quelques lacunes. Sachez que c’est avec beaucoup d’indulgence que nous notons quelques longueurs qui alourdissent le récit. Oui, c’est un premier tome et il n’échappe pas à la fameuse « malédiction des premiers tomes » soit, poser les jalons d’un nouvel univers et présenter les protagonistes. Mais ce qui est vraiment le plus énervant dans l’histoire, c’est l’héroïne. Certains ne seront peut-être pas tout à fait d’accord, mais le personnage d’Adrienne de Simone est tout sauf attachant et pour tout vous avouer, l’envie permanente de la gifler perdure sur les trois quart du roman.
Heureusement, comme nous le soulignions plus haut, les personnages masculins nous font oublier l’agacement perpétuel provoqué par Adrienne. Nous tombons très facilement sous le charme de Hawk, fier highlander et Laird de son domaine, dont la réputation d’amant ténébreux n’est plus à faire, mais qui a bien plus à offrir que des nuits endiablées. En effet, son histoire avec Adrienne sera pleine de rebondissements et le mettra durement à l’épreuve, aussi, nous ne pouvons que développer une réelle empathie pour cet homme qui a déjà beaucoup souffert par le passé.
Bien sûr, nous croisons également la route de notre facétieux faë, Adam Black dont nous découvrons une personnalité peu commune, sombre et torturée, qui ne le rend que plus intriguant et séduisant à nos yeux.
En bref, un premier tome qui se laisse lire mais qui est loin d’être à la hauteur de ce que nous avons déjà lu de la Dame. Fort heureusement, nous connaissons son talent et notre addiction pour les mâles en jupette ne peut que nous pousser fiévreusement à lire la suite.
Premier titre de la série mais également premier livre de l’auteur, et l’on sent déjà une certaine maîtrise et un goût prononcé pour l'Écosse médiévale et ses furieux guerriers. Ce n’est pas pour nous déplaire, bien au contraire, puisque Karen Marie Moning est surtout connue et reconnue pour son goût immodéré pour les beaux mâles alpha qui feraient fondre un troupeau de nonnes (il fait chaud d’un coup …).
Mais revenons à nos moutons (ou plutôt à nos guerriers), ce premier opus pose donc les bases d’un univers bien particulier où les légendes Celtes sont à l’honneur. Nous sentons tout l’amour de l’auteur pour ce pays si particulier peuplé d’étranges créatures aussi belles que féroces et qui rajoute une touche de merveilleux bienvenue. Comme beaucoup le savent déjà, ce monde fantastique servira également de background à la série urban fantasy Fever, dont nous attendons fébrilement le dernier tome.
Si ce premier livre reste quand même une lecture agréable, il comporte quelques lacunes. Sachez que c’est avec beaucoup d’indulgence que nous notons quelques longueurs qui alourdissent le récit. Oui, c’est un premier tome et il n’échappe pas à la fameuse « malédiction des premiers tomes » soit, poser les jalons d’un nouvel univers et présenter les protagonistes. Mais ce qui est vraiment le plus énervant dans l’histoire, c’est l’héroïne. Certains ne seront peut-être pas tout à fait d’accord, mais le personnage d’Adrienne de Simone est tout sauf attachant et pour tout vous avouer, l’envie permanente de la gifler perdure sur les trois quart du roman.
Heureusement, comme nous le soulignions plus haut, les personnages masculins nous font oublier l’agacement perpétuel provoqué par Adrienne. Nous tombons très facilement sous le charme de Hawk, fier highlander et Laird de son domaine, dont la réputation d’amant ténébreux n’est plus à faire, mais qui a bien plus à offrir que des nuits endiablées. En effet, son histoire avec Adrienne sera pleine de rebondissements et le mettra durement à l’épreuve, aussi, nous ne pouvons que développer une réelle empathie pour cet homme qui a déjà beaucoup souffert par le passé.
Bien sûr, nous croisons également la route de notre facétieux faë, Adam Black dont nous découvrons une personnalité peu commune, sombre et torturée, qui ne le rend que plus intriguant et séduisant à nos yeux.
En bref, un premier tome qui se laisse lire mais qui est loin d’être à la hauteur de ce que nous avons déjà lu de la Dame. Fort heureusement, nous connaissons son talent et notre addiction pour les mâles en jupette ne peut que nous pousser fiévreusement à lire la suite.
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