Les Carnets Lovecraft : La Cité sans nom
de H.P. Lovecraft
Éditions Bragelonne
Sortie le 30 octobre 2019
Format broché / 96 pages / Prix 15,90 €
Présentation de l'éditeur :
Au
fin fond du désert d'Arabie, un explorateur à dos de chameau est sur le
point de découvrir l'emplacement de la Cité sans nom. Mais son
enthousiasme n'a d'égal que sa peur, à l'approche de ce lieu réputé
maudit. Les légendes funestes qu'on raconte au sujet de cette cité
antique sont-elles fondées ? Au gré de ses explorations, l'homme met au
jour les vestiges d'une civilisation mystérieusement disparue et
s'aventure dans les galeries ensevelies de la Cité sans nom. Celles-ci
lui réservent des découvertes qui lui feront tutoyer l'horreur et la
folie.
Né en 1981 d'un père ethnologue et d'une mère grand reporter, ARMEL GAULME est un illustrateur diplômé de Penninghen-Académie Julian. Avec Les Carnets Lovecraft, il trouve l'opportunité de conjuguer son affection pour les carnets de croquis et sa passion pour Howard Phillips Lovecraft. Initiée avec la courte nouvelle Dagon, cette expérience propose une immersion dans l'univers littéraire du maître de Providence, une projection visuelle de ses cauchemars et de ses obsessions.
Mon avis :
Né en 1981 d'un père ethnologue et d'une mère grand reporter, ARMEL GAULME est un illustrateur diplômé de Penninghen-Académie Julian. Avec Les Carnets Lovecraft, il trouve l'opportunité de conjuguer son affection pour les carnets de croquis et sa passion pour Howard Phillips Lovecraft. Initiée avec la courte nouvelle Dagon, cette expérience propose une immersion dans l'univers littéraire du maître de Providence, une projection visuelle de ses cauchemars et de ses obsessions.
Mon avis :
Après Dagon, Armel Gaulme nous emporte encore une fois avec ses différentes illustrations de La cité sans nom,
nouvelle horrifique de Lovecraft dans laquelle apparaît pour la
première fois le nom d'Alhazred, le papa du non moins célèbre
Necronomicon.
L'illustrateur
arrive à merveille à retranscrire la folie des écrits du Maître et
l'ambiance poisseuse de cette nouvelle angoissante. C'est encore une
fois une véritable réussite, chaque croquis sublimant l'équilibre
instable des mots de l'auteur et l'atmosphère suffocante de ses ruines
d'un autre âge. En un mot comme en cent : puissant.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire