Godblind
de Anna Stephens
Éditions Bragelonne
Sortie le 18 octobre 2017
Format relié / 473 pages / Prix 28,00 €
Présentation de l'éditeur :
Dans un univers cruel, vaste et complexe, peuplé de personnages féminins forts, truffé d’humour noir et explorant des thèmes porteurs – fanatisme religieux et intrigues politiques –, voici la nouvelle saga de Fantasy la plus attendue de la fin d’année.
Le peuple des Mirécès adorent les Dieux Rouges assoiffés de sang. Exilés du Rilpor mille ans plus tôt, ils vivent à la dure dans les montagnes glacées. Mais un nouveau roi mirécès planifie l’invasion des cités prospères et des terres fertiles du Rilpor.
Dom Templeson est une Sentinelle, un combattant civil qui veille sur la frontière du pays. C’est aussi le devin le plus puissant que l’on ait vu depuis des générations. Bien qu’appartenant à un peuple de fidèles adorateurs du dieu de la lumière, Dom a des secrets profondément enfouis. Des secrets qui risquent d’être révélés le jour où Rillirin, une esclave mirécès en fuite fait irruption dans son village, ensanglantée et à bout de forces.
Pendant ce temps, de plus en plus de personnalités rilporiennes se tournent vers les sombres rituels des Dieux Rouges. Notamment le prince, qui conspire contre son père dont il convoite le trône.
Grâce à sa connaissance des Dieux Rouges et ses liens avec le roi mirécès, Rillirin pourra-t-elle aider le Rilpor à sortir vainqueur de la guerre qui s’annonce ?
Mon avis :
Voici une nouvelle saga de Dark Fantasy qui s'annonce fort prometteuse, même si ce premier opus a quelques défauts. Bien que l'univers crée par Anna Stephens soit assez classique et malheureusement peu développé dans ce premier tome, elle nous offre cependant des personnages forts, complexes, passionnants, loin du manichéisme classique de la fantasy. Et c'est le principal point fort de ce récit. Ici, l'intrigue tourne autour du bien et du mal, du noir et du blanc, et les protagonistes se situent à la frontière des deux, borderline, tant dans leurs actions que dans leur psychologie.
Un autre élément tout aussi remarquable est la maîtrise parfaite des scènes de combats et de violence extrême. Si les scènes sanguinolentes sont régulièrement présentes en dark fantasy, en faire des moments intenses avec intelligence est bien plus rare, et l'auteur a su faire preuve de talent.
Une première approche qui, même si elle est loin d'être parfaite, nous donne grandement envie de lire la suite. Une saga à suivre, assurément.
Le peuple des Mirécès adorent les Dieux Rouges assoiffés de sang. Exilés du Rilpor mille ans plus tôt, ils vivent à la dure dans les montagnes glacées. Mais un nouveau roi mirécès planifie l’invasion des cités prospères et des terres fertiles du Rilpor.
Dom Templeson est une Sentinelle, un combattant civil qui veille sur la frontière du pays. C’est aussi le devin le plus puissant que l’on ait vu depuis des générations. Bien qu’appartenant à un peuple de fidèles adorateurs du dieu de la lumière, Dom a des secrets profondément enfouis. Des secrets qui risquent d’être révélés le jour où Rillirin, une esclave mirécès en fuite fait irruption dans son village, ensanglantée et à bout de forces.
Pendant ce temps, de plus en plus de personnalités rilporiennes se tournent vers les sombres rituels des Dieux Rouges. Notamment le prince, qui conspire contre son père dont il convoite le trône.
Grâce à sa connaissance des Dieux Rouges et ses liens avec le roi mirécès, Rillirin pourra-t-elle aider le Rilpor à sortir vainqueur de la guerre qui s’annonce ?
Mon avis :
Voici une nouvelle saga de Dark Fantasy qui s'annonce fort prometteuse, même si ce premier opus a quelques défauts. Bien que l'univers crée par Anna Stephens soit assez classique et malheureusement peu développé dans ce premier tome, elle nous offre cependant des personnages forts, complexes, passionnants, loin du manichéisme classique de la fantasy. Et c'est le principal point fort de ce récit. Ici, l'intrigue tourne autour du bien et du mal, du noir et du blanc, et les protagonistes se situent à la frontière des deux, borderline, tant dans leurs actions que dans leur psychologie.
Un autre élément tout aussi remarquable est la maîtrise parfaite des scènes de combats et de violence extrême. Si les scènes sanguinolentes sont régulièrement présentes en dark fantasy, en faire des moments intenses avec intelligence est bien plus rare, et l'auteur a su faire preuve de talent.
Une première approche qui, même si elle est loin d'être parfaite, nous donne grandement envie de lire la suite. Une saga à suivre, assurément.
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