Moi, Stéphanie (aka Elaura),
administratrice du blog Bit-lit.com,
rédactrice,
maman, sorcière, metalhead, Janeite, chieuse à plein-temps. Aime le thé et les kilts.
Ma vie, mon œuvre, mes bafouilles.






vendredi 25 novembre 2011

Sans Forme

Et voici ma chronique du fameux Sans Forme, écrite pour Bit-lit.com ! Un second tome aussi bon que le premier, si ce n'est meilleur, un moment de lecture culte !

Une aventure d'Alexia Tarabotti
Tome 2 : Sans forme

de Gail Carriger
Éditions Orbit
 
Sortie le 2 Novembre 2011

Présentation de l’éditeur :


Alexia est toujours armée de sa fidèle ombrelle et des dernières tendances de la mode, sans oublier un arsenal de civilités cinglantes. Et même quand ses investigations pour retrouver son incontrôlable mari la conduisent en Écosse, le repère des gilets les plus laids du monde, elle est prête !



Mon avis :

Voici enfin la suite très attendue des aventures d’Alexia Tarabotti, devenue Lady Maccon à la fin du premier opus.

Si Sans âme nous avait enchanté par son vent de nouveauté, sa fraîcheur et son humour décalé, cette suite ne fait que confirmer notre dévotion totale à l’auteure car oui, nous sommes irrémédiablement, totalement et définitivement fans de Gail Carriger !

Sans forme nous entraîne dans un périple hallucinant en plein cœur de l'Écosse, où Lady Maccon se démarque encore par sa perspicacité, ses répliques mordantes et sa redoutable intelligence. En effet, Alexia fera la connaissance de sa belle-famille et de l’ancienne meute de son loup-garou de mari, autant vous dire que son entrée dans les Highlands ne sera pas sans surprises.
Pour rajouter à notre plaisir, l’auteure nous offre un voyage en dirigeable en compagnie de Mlle Hisselpenny, véritable clou du spectacle tant les situations cocasses et les dialogues ravageurs s’y succèdent. Sans parler de l’analyse systématique de ses chapeaux qui constituent à eux seuls une arme de destruction massive si tant est que les ennemis de l’Angleterre soient des personnes de bon goût.

En résumé, cette série à la frontière de l’urban fantasy et du steampunk est une grande réussite. Une saga attachante, bourrée d’humour qui renouvelle le genre avec intelligence et qui vous pousse à vouloir faire un gros câlin de gratitude à l’auteure.

Attention toutefois, la fin de Sans forme vous donne une furieuse envie d’éviscérer du loup-garou et de kidnapper un membre de l’équipe éditoriale d’Orbit afin de se livrer à un odieux chantage à la publication (Audrey Petit, surveillez vos arrières !). Les revendications de Bit-lit.com sont simples : nous voulons la suite séance tenante ! Non mais …

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