Noirs démons, T1 : Tout ce qui brûle
de Suzanne Wright
Éditions MILADY
Sortie le 21er avril 2017
Format poche / 480 pages / Prix 8,20 €
Présentation de l'éditeur :
Par l’auteure de la série best-seller La Meute du Phénix.
Préparez-vous à être enchanté par cette série hautement addictive...
Membre d’un repaire de démons mineur, Harper Wallis mène une vie plutôt simple – si l’on ne tient pas compte de sa famille haute en couleur. Tout bascule lorsqu’elle découvre que son ancre, le seul démon capable de l’arrêter lorsqu’elle laisse libre cours à sa rage, est Knox, l’un des démons les plus puissants au monde.
Knox est bien décidé à l’obliger à admettre qu’ils sont liés – et à l’entraîner dans son lit. Il est prêt à tout pour la garder auprès de lui et la protéger contre ceux qui voudraient l’utiliser contre lui. Harper n’est pas sûre de vouloir l’un ou l’autre, mais elle n’est pas pour autant du genre à battre en retraite lorsque le danger rôde, que la menace pèse sur elle... ou sur lui.
Préparez-vous à être enchanté par cette série hautement addictive...
Membre d’un repaire de démons mineur, Harper Wallis mène une vie plutôt simple – si l’on ne tient pas compte de sa famille haute en couleur. Tout bascule lorsqu’elle découvre que son ancre, le seul démon capable de l’arrêter lorsqu’elle laisse libre cours à sa rage, est Knox, l’un des démons les plus puissants au monde.
Knox est bien décidé à l’obliger à admettre qu’ils sont liés – et à l’entraîner dans son lit. Il est prêt à tout pour la garder auprès de lui et la protéger contre ceux qui voudraient l’utiliser contre lui. Harper n’est pas sûre de vouloir l’un ou l’autre, mais elle n’est pas pour autant du genre à battre en retraite lorsque le danger rôde, que la menace pèse sur elle... ou sur lui.
Mon avis :
Après La meute du Phénix, Suzanne Wright nous revient avec une nouvelle série de romance paranormale qui, même si elle paraissait assez novatrice au premier abord, finit par réutiliser les mêmes schémas habituels quelques peu lassants du genre.
En effet, le background de ce nouvel univers est intéressant : des démons de différentes espèces, avec une mythologie qui pique notre curiosité, des luttes de pouvoirs et des rapports de force qui enrichissent l'intrigue, une héroïne peu commune dans le fait qu'elle ne cherche pas systématiquement à être ce qu'elle n'est pas, reconnaît ses faiblesses et sait faire appel aux autres en cas de besoin, en bref, ça débutait plutôt bien.
Puis vint le mâle et ce fut le drame. Un cliché ambulant de mâle alpha dominateur à l'extrême, c'est à partir de ce moment-là que le roman m'a perdu. Autant, nous savons que dans ce genre de romance, et en particulier en romance paranormale, le mâle alpha dominant est un archétype quasi obligatoire, autant lui conférer quelques neurones et une once de respect pour l’héroïne n'est tout de même pas superflue. Alors, il l'aime d'amour très fort, bla bla, ne peut se passer d'elle, bla bla, doit la protéger à tout prix, même quand elle ne demande rien et surtout, elle n'a même plus la liberté de ressentir et de penser ce qu'elle veut. Boum. Rideau. Au-revoir. Aurons-nous la force de lire le second tome ? Rien n'est certain.
Petit message aux auteurs de romance paranormale : oui, nous aimons les mâles alpha, oui, ils peuvent être dominants, c'est sympa, cela peut-être excitant et cela est surtout en accord avec la nature de la plupart d'entre eux (loup, démons ou autre exemple du bestiaire du fantastique), cependant, il serait peut-être bon d'arrêter de nous servir à toutes les sauces de l’héroïne soumise, fragile, pauvrette, qui n'a même plus la liberté de penser ce qu'elle veut et des mâles en rut, idiots, antipathiques et cons. À bon entendeur...
En effet, le background de ce nouvel univers est intéressant : des démons de différentes espèces, avec une mythologie qui pique notre curiosité, des luttes de pouvoirs et des rapports de force qui enrichissent l'intrigue, une héroïne peu commune dans le fait qu'elle ne cherche pas systématiquement à être ce qu'elle n'est pas, reconnaît ses faiblesses et sait faire appel aux autres en cas de besoin, en bref, ça débutait plutôt bien.
Puis vint le mâle et ce fut le drame. Un cliché ambulant de mâle alpha dominateur à l'extrême, c'est à partir de ce moment-là que le roman m'a perdu. Autant, nous savons que dans ce genre de romance, et en particulier en romance paranormale, le mâle alpha dominant est un archétype quasi obligatoire, autant lui conférer quelques neurones et une once de respect pour l’héroïne n'est tout de même pas superflue. Alors, il l'aime d'amour très fort, bla bla, ne peut se passer d'elle, bla bla, doit la protéger à tout prix, même quand elle ne demande rien et surtout, elle n'a même plus la liberté de ressentir et de penser ce qu'elle veut. Boum. Rideau. Au-revoir. Aurons-nous la force de lire le second tome ? Rien n'est certain.
Petit message aux auteurs de romance paranormale : oui, nous aimons les mâles alpha, oui, ils peuvent être dominants, c'est sympa, cela peut-être excitant et cela est surtout en accord avec la nature de la plupart d'entre eux (loup, démons ou autre exemple du bestiaire du fantastique), cependant, il serait peut-être bon d'arrêter de nous servir à toutes les sauces de l’héroïne soumise, fragile, pauvrette, qui n'a même plus la liberté de penser ce qu'elle veut et des mâles en rut, idiots, antipathiques et cons. À bon entendeur...
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